350 logements neufs et 330 réhabilités chaque année pendant 10 ans

C’est ce que va permettre la convention signée le 23 septembre à Bordeaux entre la Banque des territoires et XL Habitat.

XL Habitat a signé avec la Banque des territoires la première souscription de titres participatifs en France à hauteur de 10 millions d’euros. Ces moyens financiers supplémentaires vont permettre d’accélérer notre programme ambitieux de construction et de réhabilitation des logements, avec un effort particulier sur le volet thermique. Au total, c’est près de 7 000 logements accompagnés sur 10 ans.

Cet effort de construction répond à un besoin croissant de logements renforcé par l’attractivité du département des Landes.


« Il est essentiel pour notre Office, malgré la Réduction de Loyer de Solidarité (RLS) qui impacte fortement nos finances, de poursuivre nos efforts de production de logements pour satisfaire à la demande grandissante de logements sociaux. Avec la possibilité qui nous est offerte d’émettre des titres participatifs, nous retrouvons des capacités d’investissement à la hauteur des besoins de notre territoire et de notre patrimoine et dans la période particulière que nous traversons c’est indispensable ».

Xavier Fortinon, président du Conseil départemental des Landes et président d’XL Habitat

Ces moyens financiers supplémentaires réduisent les effets sur nos finances de la baisse des APL décidée par l’Etat en 2018 et financée par les organismes Hlm à travers la Réduction de Loyer de Solidarité (RLS)*.

En 2020, le coût de la RLS pour XLHabitat est de 3,5 M€. En 2019, il était de 2,2 M€.

* Depuis juin 2018, les locataires percevant de l’APL constatent sur leur quittance une baisse du montant de l’APL et du montant de leur loyer. En effet, la loi de finances 2018 a introduit une réforme importante. Ainsi, l’APL baisse et pour compenser cette diminution pour les locataires, les organismes de logements sociaux doivent baisser les loyers. C’est ce qu’on appelle la Réduction de Loyer de Solidarité (RLS). Le but est de maintenir le reste à payer des locataires à un niveau à peu près équivalent à ce qu’il était avant cette réforme. Mais pour les organismes ce sont des recettes en moins pour construire et réhabiliter.